– TROUVER UN APPARTEMENT A LONDRES ( ça, ce n’est pas le plus facile, mais c’est le plus essentiel et le plus urgent, d’où découle tout le reste)
– TROUVER UNE ECOLE A LONDRES (ça, c’est le plus important mais qui ne dépend que faiblement de nous. Même en étant tout près d’une bonne école, arrivant en cours d’année, rien ne dit que nous aurons des places…)
– donner le préavis de l’appart avec justificatif pour réduire le préavis à un mois. ça, ça va, à part la lettre recommandée parce que je déteste aller à la Poste mais bon…
– repeindre les endroits de l’appart où vraiment on ne peut pas plaider que de grands dessins au feutre sur les murs soient de « l’usure normale ».
– organiser le déménagement, contacter déménageurs pour devis, planifier les dates pour éviter de se retrouver tout nus sous un pont pendant que nos affaires chemineront plus ou moins lentement vers le Nord…
– vendre les deux voitures et résilier les assurances, ainsi que celle de l’appart.
– résilier abonnements téléphones portables (ce qui ne va pas être simple puisque nous venions de nous réengager sur 24 mois), encore lettres recommandées, beurk…
– vendre les meubles trop encombrants (tout l’électroménager s’il est déjà sur place), trouver quelqu’un qui ait envie de récupérer notre citronnier et notre palmier, snif, snif, et notre salon de jardin en bois qui risquent tous de ne pas apprécier le climat londonien…
– fermer les comptes bancaires – sauf un – et en ouvrir un à Londres, ça ça devrait aller.
– prendre RDV avec les impôts, pas le plus fun…
– régler la situation avec l’AGESSA (équivalent URSSAF pour les auteurs), réussir à démêler l’écheveau des infos contradictoires qu’on me donne…
– organiser des fêtes d’adieu pour les filles avec leurs amis. Et pour nous aussi.
– résilier l’accès internet et renvoyer la freebox. Lettre recommandée, again.
– organiser le suivi du courrier. Bouh, encore la Poste, à moins qu’on puisse le faire par Internet ?
Eh bien quand je vois que rien que pour résilier l’abonnement à « Abricot » de Fille Cadette, il a fallu six coups de téléphone et un coup de stress, moi je vous le dis, les amis, ça va pas être de la tarte !
